L’artiste plasticienne américaine produit depuis la fin des années 1950, une œuvre inclassable autour de la laine, du lin ou du coton. Devant n’importe quel paysage, n’importe quel fenêtre d’immeuble, il suffit de plisser les yeux pour que cette vision devienne tableau, motif de tissage, élément d’une carte. Tout ayant à voir avec l’espace et l’idée… Poursuivre la lecture Sheila Hicks refuse de choisir entre art décoratif et sculpture